La clé de l'auto guérison - (suite de l'article sur les 5 lois de la Médecine Nouvelle)

  • Développement Personnel
  • 07 Janvier 2019
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Cet article fait suite à l'article consacré à la Médecine Nouvelle, que vous pouvez retrouver ici: "Les 5 lois de la Médecine Nouvelle" (docteur Hamer)

Si vous ne l'avez pas lu, je vous conseille de le lire avant de lire cet article sur la clé de l'auto guérison.

 

En voici toutefois un bref résumé:

Selon la théorie de la Médecine Nouvelle décrite par le Docteur Hamer, la plupart des maladie sont d'origine émotionnelles et seraient en fait un "système de survie" pour le corps humain.

En "alertant" par des maux physiques, le cerveau demande une aide pour quelque chose qu'il n'a pas su "gérer". Tant que cela n'est pas réglé, alors la maladie continue de se propager ou ne se guérit pas. En agissant sur le problème de fond, toute maladie pourrait entrer dans un processus inverse d'auto guérison.

 

Se rappeler l'origine pour agir sur celle-ci et activer son pouvoir d'auto guérison.

 

Si au moment d'un choc important, votre cerveau est submergé et ne peut pas réagir, comprendre, accepter et classer l'évènement, il risque d'imploser… Heureusement, c'est rarement le cas, et notre cerveau continue de fonctionner malgré tout. Cependant, il décharge ce qu'il n'a pas su "gérer" sur des parties spécifiques du cerveau qui auront des conséquences physiques particulières (selon Hamer).

 

Ces conséquences doivent non seulement vous alerter que quelque chose ne va pas, mais surtout doivent être en mesure de vous "rappeler" l'origine ou le choc qui a déclenché le processus.

 

Ainsi selon l'organe ou la zone du corps touchée, ou encore les symptômes que vous développez, et si vous ne semblez pas savoir d’où vient votre "mal" alors vous avez des indices !

 

Je vous invite à lire l'article : "les douleurs vous parlent" dans lequel j'ai repris des symptômes, des douleurs, ou des maladies les plus fréquentes, avec leurs correspondances émotionnelles. (vous y trouverez également les références de livres desquels ils sont tirés).

 

Mise à part, les douleurs dites "mécaniques", il est donc important de se rappeler la cause initiale du beug de votre cerveau... car en "traitant" la cause, alors votre cerveau n'a plus besoin d'envoyer un signal d'alarme. Toujours d'après le Docteur Hamer, l'empreinte physiologique dans le cerveau n'a plus lieu d'être, et le corps entre alors dans un processus d'auto guérison totalement naturel.

 

Et si je ne retrouve pas la cause initiale à traiter, suis-je condamné(e) à devenir ou rester malade ?

 

Je vous ai décrit les grandes idées de cette Médecine Nouvelle ("Les 5 lois de la Médecine Nouvelle")qui pourraient finalement conduire tout d'abord à un travail psychologique, puis sur un travail beaucoup plus profond, vers la spiritualité.

 

De la psychologie à la spiritualité

 

Nous avons vu dans l'article précédent que pour comprendre la théorie de la Médecine Nouvelle, il ne fallait pas s'arrêter à la "nature" de l'évènement qui aurait provoqué la maladie, mais qu'il fallait s'intéresser au "ressenti" que la personne en a eu, et comprendre comment elle a "traité" ou "non traité" l'information émotionnelle qui s'en est suivie.

 

Alors que nous parlions de la nature d'un évènement, vécu et ressenti différemment selon chacun, j'ai envie de rajouter qu'au niveau plus profond, spirituel, voir même karmique, il est important de comprendre que l'évènement, quel qu'il soit, était nécessaire dans votre vie, pour vous permettre d'évoluer, de changer de voie, de progresser … Même si les choses ne sont pas faciles à vivre, ou incompréhensibles, ou totalement injustes, un jour vous comprendrez que sans cet évènement, vous ne seriez pas la personne que vous êtes aujourd'hui, ou que vous deviendrez.

 

 

Je ne dis pas qu'il faut ignorer les émotions, car cela nous rendrait inhumain (et c'est bien l'une des choses fondamentales qui nous sépare de la machine), ou continuer de vivre dans la souffrance, mais qu'il faut passer par une étape difficile de reconnaissance de l'évènement, et d'acceptation (c'est par exemple, l'étape la plus difficile d'un deuil), qui permet alors de "gérer" les émotions.

 

Il est donc important aussi pour votre cerveau, que vous arriviez à vous détacher rapidement de l'évènement, afin de pouvoir en observer la situation autrement, de plus loin, d'en voir les différentes conséquences (bonnes et mauvaises), mais aussi d'en réaliser les différentes issues possibles (que l'on ne voit pas lorsque l'on est pris dans le tourbillon des émotions qui finissent par faire beuguer le cerveau).

 

Le pardon - la clé ultime

 

Reconnaître et accepter l'évènement quel qu'il soit, comme bienfaiteur ou traumatisant est déjà une étape importante. Mais encore faut-il soit le reconnaitre tout de suite, ou ne pas l'oublier… car notre cerveau est ainsi fait, afin de ne pas trop souffrir, le mental éjecte rapidement l'évènement en lui-même comme source de conflit pour pouvoir continuer de fonctionner dans votre vie de tous les jours, mais il ne sait pas se libérer du beug émotionnel provoqué, qui reste malgré lui… Aussi à la longue, beaucoup ne savent même plus la véritable origine de leurs troubles …

 

Comme je le disais un peu plus haut, il est possible d'avoir des "indications" quant à l'origine du trouble initial en fonction de la maladie ou des symptômes déclarés puisque selon la théorie de la Médecine Nouvelle, ces symptômes ne se développent pas au hasard dans le corps physique.

Cependant, si vraiment vous ne retrouvez pas l'origine, il existe un moyen détourné d'activer le processus inverse vers la guérison, ou la prévention.

 

Il s'agit du "Pardon".

 

Le "Pardon" est une porte de secours. Une porte a emprunter que vous ayez fini par reconnaitre et accepter l'évènement, ou si vraiment vous ne retrouvez pas l'origine. Tout doit se terminer dans le Pardon.

 

Le Pardon permet à votre cerveau d'arrêter de tourner en rond et d'évacuer autrement les émotions provocatrices des symptômes. Ainsi l'on peut retrouver une paix intérieure.

 

Bien entendu, le pardon semble plus efficace si vous connaissez la cause du problème, mais malgré tout, l'intention de pardonner et de se pardonner reste forte même si vous ne la connaissez pas.

 

Pardonner quoi, qui , comment ?

 

Il faut tout d'abord se pardonner soi.

 

Souvent l'on se trouve soit en cause du problème, soit en victime du problème. C'est humain. Il ne s'agit pas de se décharger de ces responsabilités, ni se débarrasser de toute culpabilité, et encore moins "oublier", "faire comme si cela n'a pas eu lieu", mais assumer ce que l'on ressent et remettre les choses en place, avec une vision réaliste et objective. Pour cela, il faut bien entendu avoir réussi à accepter les choses telles quelles sont, que vous soyez réellement coupable ou non, victime ou non.

 

Et si vous ne connaissez pas l'origine exacte de vos maux, alors pardonnez-vous simplement de ne pas avoir su réagir correctement, pardonnez-vous de vous être fait du mal tout seul. Car dans l'histoire, c'est bien vous, et votre cerveau qui êtes en souffrance (pas votre voisin).

 

Se pardonner est un acte du cœur envers votre tête.

 

Si vous ne savez pas comment faire, alors imaginez un petit enfant au fond de vous, qui n'arrête pas de pleurer, et consolez le. Que lui diriez-vous pour qu'il ne pleure plus ? Que feriez-vous ? (le prendre dans vos bras ? Lui offrir quelque  chose ? L'embrasser ?) et accordez-vous cette même intention. (plusieurs fois et plusieurs jours d'affilées s'il le faut)

 

Pardonner aux autres

 

S'il n'est déjà pas facile de se pardonner soi, il est souvent encore plus difficile, voir même inconcevable pour certaines personnes de pardonner aux autres. (surtout si vous vous sentez lésés, victimes …)

 

Mais en pardonnant à l'autre, vous vous libérerez vous-même. Il n'y a pas vraiment de mots pour expliquer cela. C'est la clé … mais vous ne comprendrez son sens véritable que lorsque vous aurez réussi à le faire vraiment.

Car il ne s'agit pas de dire simplement "aller, je pardonne, et je passe à autre chose" … Car dans le pardon véritable, il y a une notion d'amour. Mais cela non plus je ne sais pas comment vous l'expliquer en profondeur aujourd'hui, car il faut le vivre, et l'expérience est différente pour chacun de nous.

 

Vous pourriez toutefois "imaginer" ce à quoi pourrait ressembler ce Pardon… Imaginez que vous ayez un enfant que vous aimez plus que tout, qui fait une bêtise. Une grosse bêtise qui vous blesse énormément. Et cependant, vous lui pardonnez, parce que vous l'aimez, parce que quelque part, vous ne pouvez pas faire autrement car cela vient du cœur, de votre âme, votre enfant est votre chair… Il est même, je dirais presque, inconcevable pour vous de ne pas lui pardonner. (Voyez-vous, ou ressentez-vous ce que je vous décris ?) .- Le Pardon est alors associé à un Amour Universel. En pardonnant à votre enfant, qui est votre chair, alors vous pardonnez à votre chair... En envoyant de l'amour, vous vous envoyez cet amour à vous-même...

 

Dans le monde dit "spirituel", vous entendrez souvent dire que tout est un. Un peu comme si chaque être de la planète est en fait comme votre enfant, une  partie de votre chair. Et qu'en pardonnant véritablement, alors quelque part, vous vous faites du bien à vous-même…

 

Des pistes pour retrouver l'origine de la maladie ?

 

Dans l'article suivant, "Les douleurs vous parlent", vous trouverez quelques correspondances entre les symptômes et maladies pouvant trouver leur origine dans un "mal être" émotionnel, ou encore dans l'impossibilité d'exprimer quelque chose. Car tout ce que vous n'exprimez pas et refoulez, fini par s'écrire un jour dans votre corps physique et s'exprimer à sa manière... Je vous invite donc à lire cet article.

 

Connaître et comprendre son Karma, de Joan Pruvost.

Cet ouvrage écrit par moi-même, contient tout un chapitre dédié à la reconnaissance des émotions et comment les gérer. Il peut être une source utile pour vous aider à comprendre comment ne pas laisser influer sur vous des évènements extérieurs.

 

 

 

Voyage au coeur de la guérison, de Anne Lamy-Félippelli, préface de Christian Tal Schaller

 

 

 

 

 

 

 

 

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